INPI

Nous voulons appeler notre société Réduc' Pack, et d'après le site de l'INPI (Institut Nationale de la Propriété Industrielle), nous pouvons voir selon la première étape que notre idée de marque n'est pas existante dans les bases de données de l'INPI. En revanche, il apparait nécessaire de faire une demande de recherche approfondie auprès de l'INPI afin de s'assurer qu'il n'y ait pas de similitudes avec d'autres marques.

Baptiste

Logo Réduc' Pack

Voici une proposition de logo faite à moitié à l'ordinateur à moitié à la main. Si cela vous convient on part sur celui-ci. Merci de donner votre avis par le biais de commentaires.



Baptiste

CCI 94

La chambre des commerces et de l’industrie du Val de Marne

Mercredi 21 mars 2011, nous sommes allés à la CCI du Val de Marne à Créteil, afin de mieux appréhender les différentes démarches à effectuer afin de créer notre entreprise.

1/ Les formulaires administratifs

Nous avons récupéré deux formulaires importants dans le cas où nous souhaiterions officialiser notre projet :

-          La déclaration de constitution de la société, qui doit être remplie et retournée à la CCI si l’on crée l’entreprise.

-          Une demande d’aide à la création d’une entreprise (ACCRE)

L’ACCRE, qui s’adresse aux projets de création d’entreprise dont les jeunes de 18 à 26 ans peuvent être bénéficiaires, est une aide qui consiste en une exonération de charges sociales pendant un an. Cette exonération ne porte que sur la partie des revenus ou rémunérations ne dépassant pas 120% du SMIC.

Action : Mieux se renseigner sur l’ACCRE afin de savoir en détail quelles aides nous seront fournies pour alimenter le plan de financement

2/ Documentation sur le financement de l’entreprise

Les entretiens et formations étant payants, nous avons juste récupéré de la documentation sur les astuces et méthodes de financement des entreprises dont une revue : « financer sa croissance ».

Action : lire la revue et récupérer les informations utiles à notre plan de financement

3/ La forme juridique de notre entreprise

Afin de déterminer quel statut juridique nous allons adopter, voici quelques sources d’informations intéressantes que nous a transmises la CCI :

-          Inforeg (http://www.entreprises.ccip.fr/web/reglementation)

-          APCE = Agence Pour la Création d’Entreprise (http://www.apce.com/)

Action : Faire des recherches sur les deux sites pour déterminer quel sera le statut juridique de notre entreprise

4/ Le brevet

Au cas où nous serions prêt à ouvrir notre entreprise, nous avons pris la peine de récupérer les documents expliquant les démarches à faire pour déposer le brevet d’un dessin, d’un modèle ou d’un concept.

Pour plus de renseignements sur l’existence du nom de notre entreprise ou du concept, il faut consacrer du temps à la recherche sur le site de l’INPI.

5/ La concurrence

Sur le site de la CCI, nous trouverons le service fichier qui reprend toutes les entreprises existantes ; ainsi nous déterminerons les éventuelles concurrences sur notre marché.

Au cas où l’on souhaiterait faire une recherche plus approfondie, nous pouvons contacter le service « Allo création 94 » au 08 20 00 12 112. 
Action : rechercher les concurrents éventuels sur le service fichier de la CCI

Suite à cela, il faudra que l’on se répartisse les actions présentes.

Laetitia

Idée validée

Idée validée

                Après avoir réfléchi sur la faisabilité de créer une entreprise réduisant la consommation d’eau potable, nous nous sommes aperçus que l’idée était bonne mais difficile à mettre en place. De plus, la réglementation étant très sensible sur l’utilisation de l’eau nous avons choisi d’abandonner cette idée.

                Aujourd’hui, nous avons une nouvelle idée qui est de diminuer la quantité d’emballages par l’éco packaging. En effet, de nos jours nous consommons une quantité d’emballages énorme qui ne sert qu’à contenir nos produits pour leur utilisation ou leur transport. Le but de notre entreprise serait de favoriser la réutilisation de nos emballages pour leur donner une seconde vie. Pour cela nous souhaiterions proposer des contenants de stockages plus épais que ceux actuels permettant une durée de vie bien plus importante. Les clients achèteraient cet emballage et le rempliraient du produit voulu. Une fois le consommable épuisé, ils reviendraient dans le magasin afin de recharger l’emballage. Le fait de diminuer le nombre de déchets permet de diminuer l’avancement considérable de l’épuisement de nos ressources naturelles. De plus, le fait de ne plus payer l’emballage, le prix du produit sera moins important suite à des accords donnés avec les différents fournisseurs. Cela permettra de faire jouer la concurrence. Nous pensons également nous implanter à proximité de magasins tels que le magasin vendant des surgelés ou encore à côté de l’épicier.

                Dans un premier temps nous souhaiterions commercialiser des produits peu périssables à savoir :

-          Des pâtes

-          Du riz

-          De la semoule

-          Du sucre

-          De la farine

-          Des céréales

-          Du chocolat en poudre

-          Du café

-          De la lessive

-          De l’assouplissant

-          Du produit vaisselle

-          Du savon liquide

-          Du shampoing

-          Démêlant

-          De l’huile

Baptiste

Idée caduque

Fiche entreprise

Le groupe :

          - Baptiste SEZEUR

          - Vanessa JEAN LOUIS

          - Laetitia BELLONI

Description de la société :

          Hydro'logis est une entreprise qui souhaite réduire la consommation d'eau potable des habitations.

Le but est de diminuer les traitements chimiques réalisés dans les stations d'épuration afin de ne traiter que le volume nécessaire à la consomation d'eau potable directement chez l'habitant.

Logo :

Slogan :

          L'eau, notre bien précieux

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Visite du château d'eau de la SNECMA

date de la visite: le 10/02/2012

1- Récupération de l'eau :         

L'eau est récupérée par un système de forage:



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Principe de forage

 Puis l'eau est séparée en deux réseaux:

     - Le réseau d'eau potable

     - Le réseau d'eau industrielle/incendie

Il y a quatre pompes de distribution qui récupèrent l'eau. La capacité est double par rapport à une collectivité, qui, en moyenne, a deux pompes de distribution.

La nourrice, installée en sortie du forage, permet de couper l'eau. En effet, un forage peut être au chômage, c'est-à-dire qu'il est obsolète et abandonné car il n'y a plus d'eau à pomper.

Autour du forage, il doit y avoir un périmètre de sécurité pour éviter que des "déchets" s'introduisent dans l'eau, tels que les pesticides. Par exemple: les traitements agricoles déversés sur le sol ne doivent pas atterrir en trop grande quantité dans l'eau récupérée.

2- Traitement au charbon actif :

Une fois l'eau récupérée, une vanne de régulation amène l'eau dans un traitement au charbon actif. Le charbon actif, sous forme de grain, est facile à trouver et peu couteux. Il y a deux containers de 16m3 pour 80 m3/h d'eau potable.

Le charbon, lorsqu'il est utilisé à court terme, peut être recyclé par la suite alors qu'à long terme il ne peut pas l'être. La SNECMA a une installation à long terme, elle incinère donc le charbon, qui est changé tous les 3 ans environ.

3- Réserve tampon :

Afin d'avoir une réserve tampon, l'eau traitée pour sa potabilité (autre système pour l'eau industrielle) est envoyée en haut du château d'eau par un système de pompe dans un bassin de 250m3. C'est un moyen de sureté au cas où il y aurait une panne électrique; le bassin, en hauteur est capable de distribuer l'eau par le phénomène de gravitation.

De temps en temps, le bassin est vidé à l'aide d'une pompe de relevage pour être désinfecté.

4- Traitement au chlore gazeux :

Puis du chlore à l'état gazeux est injecté dans l'eau afin de la désinfecter (35mg/L). Le résidu de chlore est >1mg/L car la norme stipule que la consommation d'eau potable doit avoir un taux de chlore de 1mg/L à la sortie du robinet (le chlore étant sous forme gazeuse, il s'évapore; il faut donc en mettre davantage afin d'obtenir les 1mg/L à la sortie).

5- Distribution de l'eau :

Un surpresseur à vitesse variable est ensuite utilisé pour un meilleur suivi du débit dans le système. Et un limiteur de pression sécurise la pression à 4bars au cas où le surpresseur s'emballe.

La capacité de ce système est de 80m3/h d'eau potable. C'est Veolia qui gère ce système par une gestion centralisée (données relevées sur un ordinateur). La SNECMA a un contrat d'exploitation avec elle.

6- Autres informations :

- A Montgeront, il existe un autre procédé de micro perforé qui capte les bactéries => à étudier

- L'eau de forage est très calcaire (environ pH8)

- Pour les eaux pluviales, il faut voir avec la SDIS

- Pour un forage, il faut être soumis à une autorisation de la préfecture qui contacte l'agence de l'eau (DRIRE/DRIEE), et ainsi obtenir un arrêté préfectoral.

- Pour l'eau potable, c'est la DASS (Direction des Affaires Sanitaires et Sociales) qu'il faut contacter.

- La SNECMA a un arrêté préfectoral de distributeur d'eau. Tous les trimestres, la DASS fait une analyse de l'eau.

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Visite de la station d’épuration de la SNECMA

Date de la visite: le 10/02/2012 

1- Collecte de l’eau :
La SNECMA a un système d’égouts séparatifs (deux réseaux de récupération différents) :

     - les eaux usées

     - les eaux pluviales

2- Dégrillage :

Un premier traitement consiste à enlever les déchets solides comme les feuilles grâce à un dégrillage mécanique. Les eaux passent par des grilles de plus en plus fines où les matières volumineuses sont retenues. Les déchets sont ensuite compactés et envoyés en benne. La capacité maximale de traitement est de 100m3/h. Si le débit dépasse le maximum, l’eau est stockée dans une lagune en attendant de pouvoir être traitée.

3- Dégraissage – Dessablage :

L’eau est encore chargée de graisse et de sable fin ; ils sont éliminés par décantation dans un bassin et évacués.

4- Aération et traitement bactérien :
Les matières organiques présentes dans l’eau sont éliminées dans un bassin par oxygénation et dégradation bactérienne. C’est ce que l’on appelle l’aérobie.

5- Clarification de l’eau :
L’eau et les boues (bactéries chargées en DCO*, phosphore,…) sont séparées dans un clarificateur. C’est un bassin de décantation.

*DCO = Demande Chimique en Oxygène

6- Filtration UV :
Pour enlever les dernières bactéries, l’eau est traitée aux rayons UV afin d’obtenir une eau apte à être rejetée dans la rivière.

7- Valorisation des boues :

Les boues issues de la clarification sont centrifugées puis réparties et brassées dans une serre de séchage solaire permettant d’obtenir une siccité de 80%. Pendant l’hiver, l’énergie solaire est complétée d’un plancher chauffant sous les boues.

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Visite d’un forage 12 février 2012 à 15h

Nous nous sommes rendus dans une famille utilisant un système de forage pour diminuer sa consommation d’eau potable. Cette idée nous paraissant intéressante, nous avons décidé de prendre rendez-vous à Chailly en Bière, chez la famille utilisatrice du système de forage.

I] Le forage

    Dans un premier temps la famille a contacté un sourcier afin de déterminer la position de la nappe phréatique pour pouvoir forer dans l’endroit le plus stratégique (eau facile d’accès et surtout présente). Une fois la source d’eau trouvée, une entreprise de forage s’est rendue dans le jardin afin de forer le sol sur 20 mètres de profondeur. Lors du forage une canalisation en acier est descendue en même temps. Une fois l’eau atteinte, les extrémités de la canalisation sont reliées à des canalisations en PVC.

II] Mise en place d’une pompe

    Dans un deuxième temps une pompe électrique passe dans la canalisation pour arriver jusqu’à la source. Celle-ci est reliée à un sur-presseur permettant d’obtenir un débit suffisant.

L’eau remontée arrive dans le ballon qui est raccordé au sous-sol, elle passe par un régulateur (boîtier) qui gère la pression mini - maxi, puis par un filtre à sable pour récupérer les grands morceaux.

III] Ralliement au circuit d’eau domestique

    Une canalisation arrive jusque dans la cave pour être reliée au circuit d’eau comme exposé sur la photo ci-dessous :

   

IV] Adoucisseur d’eau

    Un adoucisseur permet de rendre l’eau moins calcaire par la méthode de résines échangeuses d’ions qui doivent être rechargées périodiquement. Un sel est utilisé pour régénérer ces résines. En effet l’eau puisée est 4 fois plus calcaire que l’eau de ville ce qui risque d’encrasser les canalisations.

Il est composé de cartouches jetables (filtres), d’un compteur qui permet la régénération de la résine. Il faut également mettre du sel à l’intérieur pour régénérer les résines. Un contrôle est fait chaque année par le prestataire

V] Les différents acteurs :

-    DASS (Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales): elle contrôle l’eau

-    Sourcier

-    Entreprise de forage

-    CULLIGAN : Fournisseurs d’adoucisseurs

-    ECOWATOR (utilise un double circuit)

-    Plombier

VI] Coûts :

Soutien    60 €

PVC    30 €

Déplacement ouvriers    450 €

Filtre UV    200 € la lampe/an

Complet (adoucisseur, osmoseur, filtre UV)    7 000 €

VII] Diminution de la Consommation :

    La famille utilise l’eau de puisage pour faire la vaisselle, la toilette, les toilettes, l’arrosage du jardin, le nettoyage de la voiture. Les robinets délivrant de l’eau potable sont reliés à l’eau de la ville qui est entièrement potable.

Leur consommation est passée de 250 m3 d’eau potable à 14 m3 par an, en revanche une consommation électrique de la pompe demande 5 000 watts par an.

Conclusion

On peut donc remarquer que la consommation d’eau potable peut être réduite fortement. Cette famille a utilisé une utilisation simple pour obtenir une eau propre mais non potable. En revanche, elle utilise des installations permettant de rendre l’eau complètement potable grâce à des filtres UV et d’un osmoseur. Il faut compter environ 7 ans pour amortir l’installation et voir les bénéfices.